18 rue de Paris 91600 Savigny-sur-Orge Tél. : 01 69 05 05 24 Port. : 06 08 01 48 14 Mél : lestroisclous@orange.fr Accueil FaceBook |
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Marc Delouze. Premier recueil : Souvenirs de la Maison des
Mots (1971) préface de Louis
Aragon ("Par manière de testament"). Il crée en 1982 Les
Parvis Poétiques qui organisent des événements, expositions sonores
et lectures-spectacles
et festivals : Tout un poème (Paris), cofondateur du
festival Voix
de la Méditerranée, (Lodève). Conseiller littéraire du
festival C'Mouvoir (Cantal). |
Il se produit en collaboration avec des musiciens, en France et dans des créations à l'étranger : Chine, Taïwan, Inde, Kosovo, Centrafrique, Serbie, Hongrie, Turquie, Slovénie. Marc Delouze est présent dans diverses anthologies et nombre de revues : Les Lettres françaises, Action poétique, Europe, Apulée, Décharge, Doc(k)s, Zone sensible, Le Matricule des anges, recoursaupoème… Parmi ses Publications : CD : Jusqu’à quand, avec Marc Delouze (textes et voix), Nancy Huston (voix), Maxime Perrin (composition, accordéon). maxaZurA Production / productionmaxazura@gmail.com 2021 Théâtre : Mai68 aussi loin que possible, préface de Joël Jouanneau, Les Cygnes, 2020. Récit : Chroniques du purin, roman, l'Amourier,
2016, C'est le monde qui parle, récit, Verdier, 2007 Poèmes extraits de Poèmes des confins, [in La Divine Pandémie], à paraître aux éditions, Æthalidès, mai 2022 ; CD (musique Maxime Perrin), 2021. Requiem pour Ali [in Deuil du singe], éditions Les lieux dits, 2018 06 avril 2020 toutes ces choses que l’on fait ce qui servait à rien tous ces gestes insignifiants Dans le monde c’est tout pareil. Rassurons-nous tout reviendra comme il se doit
Poèmes des confins, [in La Divine Pandémie], à paraître aux éditions, Æthalidès, mai 2022 ; CD (musique Maxime Perrin), 2021. * A la mémoire d’Ali Podrimja, poète du Kosovo, invité du festival Les Voix de la Méditerranée, à Lodève, retrouvé mort, couché face au ciel, sur les pentes du plateau du Larzac, en juillet 2012. (les poèmes en italiques sont d’Ali Podrimja, traduits par Alexandre Zotto) je tourne en rond du soleil qui me guide du soleil qui me guide les collines m’appellent les buissons déchirent le silence mon ombre m’abuse que m’arrive-t-il là ô Seigneur le soleil a paru à l’horizon et je tourne tourne sur moi-même Requiem pour Ali [in Deuil du singe], éditions Les lieux dits, 2018
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Isabelle LAGNY |
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Isabelle LAGNY, poète, écrivaine et photographe, née en 1961 à Paris.
Après des études de médecine, j’ai fait plusieurs années de recherche en biologie, puis je suis retournée vers la médecine en 1995. C’est au cours de ma nouvelle activité professionnelle de médecin du travail, que j’ai rencontré à ma consultation, Salah Al Hamdani, poète d’origine irakienne, alors bibliothécaire dans un hôpital en région parisienne. J’ai commencé à collaborer avec lui à la traduction d’arabe en français de ses textes poétiques et de ses récits. Nous avons également fait des lectures de ses textes à voix haute ensemble. De cette collaboration inattendue, qui a abouti à la publication en France d’une dizaine de livres à ce jour, est née ma propre envie d’écrire de la poésie et des récits dans ma langue maternelle. Ils ont été publiés à partir de 2002. J’avais écrit auparavant un essai engagé de psychosociologie (Isabelle Pourmir (Lagny), Jeune chercheur, souffrance identitaire et désarroi social, Ed. L’Harmattan, 1998). |
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Dernières publications littéraires: Comme auteure : Le Sillon des jours, Ed. Le Temps des Cerises 2014 (épuisé), 2ème Ed. Pippa 2017 ; Contrejour amoureux, Dialogue poétique avec Salah Al Hamdani, Ed. Le Nouvel Athanor, 2016 ; Poèmes d’Alya, Ed. La lune bleue, 2018 (épuisé) ; Nuit Inversée, Ed. Al Manar, 2018 ; Este gesto-nuvem (Ce geste-nuage), bilingue français-portugais (trad. A. Moura, Brésil), Ediçôes do Escriba 2019; Rendez-vous dans quinze jours, récits, Ed. Unicité, 2021. Mes dernières publications en traduction avec Salah Al Hamdani: Loin de Damas, d’Omar Youssef Souleimane, Ed. Le Temps des Cerises, 2017 ; L’arrogance des jours, de Salah Al Hamdani, Ed. Al Manar, 2019. Certains de mes poèmes et de mes récits ont été
traduits et publiés en revue littéraire, en français, en arabe, en
espagnol, en portugais et en hébreu.Comme photographe, je réalise des
expositions de photos depuis 2013 et je suis l’auteure d’un livre de
photographies avec des textes de Nicole de Pontcharra (bilingue
français-arabe trad. de Salah Al Hamdani) : Marrakech, à l’ombre
de l’enfance, Ed. Réciproques, 2015. Anne de Commines, poète et écrivaine, a dessiné mon portrait d’écriture en poésie dans Le livre parlé par 23 poètes, Ed. Unicité, 2019. Poèmes extraits de Le sillon des jours,
éditions Le Temps des Cerises, 2014 Les chardons brûlants
* Retard Tu as oublié de revenir Nuit inversée, éditions Al Manar, 2018
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Raphaël MONTICELLI |
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Raphaël Monticelli. Né en 1948, à Nice. Études de lettres (université de Nice) et d’art dramatique (conservatoire de Nice). Fonde, en 1967 avec Marcel Alocco, le groupe et la revue INterVENTION auxquels participent notamment Carmelo Arden Quin, Daniel Biga, Noël Dolla, Max Charvolen, Serge Maccaferri, Martin Miguel, Patrick Saytour, Claude Viallat. Travaille, depuis cette date avec des artistes, des écrivains, des musiciens et produit des œuvres croisées avec nombre d’entre eux. Entre 1979 et 1994, a animé avec les artistes Martin
Miguel et Max Charvolen, deux galeries associatives : Lieu 5 et Le Cairn,
toutes deux à Nice.Enseignant, il a été chargé de missions
éducatives, culturelles et artistiques de 1984 à 2008 |
Écrire Questionner l’altérité in Chants à tu, éditions La Passe du vent, 2019 ; Autres Ailleurs à paraître aux éditions La Passe du vent/La Rumeur libre Bribe LV Josué avait un rythme de torrent ; il avait du torrent les apparents caprices, l’apparente irrégularité, cette activité plus ou moins visible et qui, qu’elle soit spectaculaire ou occulte, a toujours quelque chose à voir avec le désespoir. Il avait du torrent les excès désespérés ; la même aridité leur était commune et saisonnière ; chaotique monument de galets, figeant son cours mais le rappelant sans cesse, image de la fluidité, comme une fossilisation de l’écoulement, et l’on sait bien que les nappes, cachées par en dessous, subsistent et bougent ; que, dans le calme et la certitude de poches profondes, des eaux limpides attendent la ruée ; que la surface ne se borne pas à restituer un squelette du courant ; qu’elle est l’épiderme d’une circulation constante qui a ses enchevêtrements, ses errances, toute une vie insoumise, irréfrénée ; le torrent peut, aux yeux du monde, crier son angoisse et sa souffrance, il Bribes, éditions de L’Amourier 1998-2015 * Écrire Légendes pour une migration Pour Michel Butor Prendre le signe de l'Autre, le rouler dans la terre, l'eau, les cendres, l'y confondre, le faire brindille, radicelle, accident du terrain, relique du foyer, fossile. Naturalisation.
Se saisir du signe de l'Autre, le poser sur soi, faire sa propriété de l'Autre et s'en nourrir, se faire propriété de l'Autre et le nourrir. Cannibalisme.
Accueillir le signe de l'Autre, l'exalter, l'amplifier, s'en faire un motif, en développer des frises, des architectures, pans de murs, stèles, pages d'écriture. Culture.
Souffrir au signe souffrant de l'Autre, jouet du vent, des nuits, des vapeurs et des aubes, pâli, effacé, écartelé, perdu, brisé des espaces brisés. Déchirure.
Rêver les envols des signes de l'Autre, les voir parcourir les espaces, entre ici et là-bas, d'une rive à l'Autre, d'un pays à l'autre, d'un monde à l'autre. Génie civil.
Chants à Tu, éditions La Passe du vent, 2019
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Évelyne MORIN |
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© Photo Éliane MORIN |
Évelyne Morin, née à Tulle, vit en Essonne. Poète, professeure de lettres, comédienne à la compagnie théâtrale Les Trois Clous. Elle assure la programmation de Poésie & musique.orge. |
Bibliographie Le cri de l'aube éditions PJ Oswald 1975 La défaillance des jours éditions Caractères 1976 Miroirs éditions Caractères 1978 Le jeu de moi éditions Caractères 1985 La licorne du silence éditions Caractères 1987 Rencontre occulte à mort perdue éditions La Bartavelle 1991 Terre de mortes-lunes éditions Table Rase 1992 La nuit d'Électre éditions La Bartavelle 1996 Ombres, désirs éditions Jacques Brémond 2000 Dernier train avant le jour éditions Le dé bleu 2001 N’arrêtez pas la terre ici (Préface de Stéphen Bertrand) Polder/Décharge 2003 Non lieu provisoire (Encres de Misko Pavlovic) éditions Cadex 2007 N’arrêtez pas la terre ici (Préface d’Anne Stell) éditions Le Nouvel Athanor 2007 Cela, fulguré éditions Gros textes 2007 Un retour plus loin (Frontispice de Marc Pessin) éditions Jacques Brémond 2007 Rouge à l’âme éditions Potentille 2007 Matin de l’arbre levant (Préface de Brigitte Gyr) éditions Le Nouvel Athanor 2014 Le Bois des corbeaux (photographies d’Éliane Morin) éditions Gros textes 2015 Évelyne Morin, anthologie éditions Le Nouvel Athanor, Collection Poètes trop effacés, 2018 Les bois flottés du jour éditions Encres Vives, collection Encres Blanches n°760, 2019 Soleil juste la nuit, éditions Henry, 2019 Ronde noire (Illustrations d’Alexandre Hollan) à paraître aux éditions Jacques Brémond Livres d’artiste Effacement du jour, peinture de Colette Klein, Les
Cahiers du Museur 2021 Présence dans les anthologies Participation à de nombreuses revues, dont Arpa, Bacchanales, Concerto
pour marées et silence, revue, Imprévue (revue franco-américaine),
Interventions à haute voix, Les Cahiers du sens, Comme en poésie,
Décharge, Diérèse, Ficelles, Friches, La Traductière, Levée d’encre,
Lieux d'être, Liqueur 44, La main millénaire, Multiples, Neige d’août,
Poésie/première, Sarrazine, Souffles, Spered Gouez, Verso, Voix d’encre… Spectacle Miroirs ou l’opérette d’un sou, mis en scène par Jean-Louis Gonfalone en 1984, à partir de trois recueils ; musique : Gérard Garnier et Jean-Louis Gonfalone. Membre du Jury du Prix de la découverte poétique de la Fondation Simone de Carfort, sous l’égide de la Fondation de France Membre de la Maison des Écrivains et de la Littérature Site : http://evelynemorin-poesie.fr Poèmes Psaume en noir et blanc, encres de Nourit Masson Sékiné, Bandes d’Artistes éditions Les lieux dits, 2021 Ni écrire, Poèmes inédits Les branches s’écartent pour laisser passer les
loups. Là-bas le fleuve. Les mots sont Ce sont mots issus * Alors le noir disparut Un maillage de liens qui étranglait l’amour Dépossédés de la liberté du destin Nous nous attendons Il y a tous ces signes qui s’annoncent Le battement des secondes Nous sommes du monde Psaume en noir et blanc, encres de Nourit Masson Sékiné, Bandes d’Artistes, éditions Les lieux dits, 2021
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Georges ROSE |
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Georges Rose vit à Paris
OUVRAGES PUBLIÉS Poèmes, Caractères, Paris, 1973 |
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Poèmes extraits de Dans l’intimité de l’immensité, éditions Littérales, 2016, Prix Littérales, traduit en grec, éditions Kukkida (Athènes), 2016 Jeunesse de l’instant, éditions Alcyone, 2019 Nous espérons Il faut tirer de soi Dans la pluie
Déjà le soleil L’averse longue Icônes avant la neige Dans l’intimité de l’immensité, éditions Littérales, 2016, en grec aux éditions Kukkida, 2016
La solitude est le seul chemin Dans le café plus étroit Les gens touffus Le seuil s’est détaché On suit longtemps avant d’être
Les montagnes appellent dans la brume La flamme des jonquilles Le soir au pays des baobabs Le vent souffle les derniers cris Jeunesse de l’instant, Éditions Alcyone, 2019
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